Plaisir Inattendu
- Taleenah
- 17 juin 2020
- 13 min de lecture
Dernière mise à jour : 17 mars 2021

On faisait déjà la queue depuis un moment, quand on est enfin arrivés à l’entrée de la soirée devant la sécurité qui s’occupait de fouiller les sacs et les personnes.
Je crois avoir autant détaillé le physio que lui-même m’a détaillé, sauf que moi ce n’était pas mon job, juste le plaisir des yeux.
« - Hum, pas mal » me chuchote ma copine.
« - Prem’s ! » en rigolant.
En effet, pas mal du tout. Un grand gaillard, à la peau foncé, avec des longues locks, une barbe taillée de près, un long manteau noir d’où dépassait un col roulé noir aussi. Humm. Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours trouvé cette combinaison classe et sexy sur un mec. Il se tenait bien droit, torse bombé, avec un air intimidant, on pouvait deviner sous l’épaisseur de son manteau, qu’il avait un physique de bûcheron, et qu’il ne valait mieux pas le contrarier.
Malheureusement, la fouille ne faisait pas partie de ses fonctions.
Je l’aurai très volontiers laissé aller aussi loin qu’il le voulait. Surtout que ses mains paraissaient immenses dans ses gants de cuir noirs.
Durant la soirée, je ne l’ai revu qu’une fois, et quand nos regards se sont croisés, j’ai instinctivement fait un sourire auquel il a répondu avec un simple signe de tête et un air trop sérieux à mon goût (helloOo, j’essaye de flirter avec toi ! pffff).
Beaucoup plus tard, la soirée touchant à sa fin, j’étais donc aux vestiaires en train d’enfiler mon manteau avant de devoir affronter le froid à l’extérieur, heureusement, la soirée se déroulait à quelques stations de métro seulement de chez ma meilleure amie, chez qui, j’allais passer la nuit, enfin, plutôt la journée.
Au moment où j’allais me diriger vers la sortie, j’ai senti une main se poser sur moi, retenant mon bras. Évidemment, je me retourne et je m’aperçois que c’est mon physio. Malgré mes talons de 12cm, je dois relever la tête pour bien le regarder dans les yeux.
« - Excusez-moi, mais je ne pouvais pas vous laisser partir sans vous avoir adressé la parole »
« - Ah bon ?... »
J’essayais de toutes mes forces de retenir un sourire.
« - Être physio, c’est aussi avoir la capacité de remarquer une jeune femme aussi belle que vous parmi la foule »
BA-DAM ! ! !
Alors, là, je n’ai pas pu me retenir mon sourire plus longtemps. Même si, c’était très cliché, un compliment de la part de l’homme qui nous intéresse, fait toujours son effet.
« - Merci pour le compliment, mais je suis sûre que vous devez justement en voir passer beaucoup à chaque soirée »
« - Certes, mais il y en a toujours une qui sort du lot »
Hum. Bien joué Monsieur le Flatteur.
Je voyais au loin ma copine me faire des signes et sourire de toutes ses dents, j’essayais donc de ne pas trop la regarder pour garder un minimum de sérieux face à cette armoire à glace.
Il s’est quand même retourné un moment vers elle qui a dû se figer pour ne pas qu’il la voit faire toutes ses grimaces.
Il attrape un flyer qui traînait par là, en déchire un bout, sort un stylo de sa poche, et y inscrit son numéro de téléphone. Il me tend le morceau de papier cartonné en me regardant bien dans les yeux, ce qui me déstabilise légèrement, mais j’essaye de ne pas le montrer. Je l’attrape à mon tour, mais il ne le lâche pas tout de suite, il fait un peu de résistance, toujours en me regardant droit dans les yeux et me dit qu’il espère que je m’en servirais. Malgré la température extérieure, j’ai eu chaud jusqu’à ce qu’on arrive chez ma copine.
J’ai préféré attendre le dimanche soir, après être rentrée chez moi, pour lui envoyer un premier message. Et quelques minutes après, mon téléphone sonnait.
J’étais étonné, mais contente qu’il m’appelle directement. Nous avons discuté, pendant une bonne heure ou deux. Il s’exprimait bien, c’était agréable. J’ai donc appris qu’il bossait pas mal, car il possède sa propre société de sécurité, et que les gars qui s’occupaient de la fouille et du reste, à la soirée, travaillent justement pour lui. Qu’en ce moment, il est en plein développement de son activité. Qu’il pratique des arts martiaux ; et qu’il fait le meilleur moelleux au chocolat du monde.
Les jours qui ont suivi, c’était coups de fil et messages quotidiens, dès qu’il avait un moment de libre. On a vite décidé de se revoir le weekend suivant pour une soirée films/pizzas, en toute décontraction, chez lui. On s’était découvert une passion commune pour la mythologie gréco-romaine et les trilogies mettant en scène (1)les habitants de la Terre du Milieu, autres nains et elfes. Incroyable ! Avant lui, je n’avais jamais rencontré de mecs qui s’intéressaient à la mythologie autant que moi !
On avait donc prévu de se faire un marathon Tolkienien.
Durant, nos conversations, il y a, bien sûr, eu à quelques moments des allusions sexuelles, mais ça restait subtil, pas lourd, on se taquinait un peu, mais ça fait, de toute façon, partie du jeu aussi.
Je me doutais donc bien que cette fameuse soirée « en toute décontraction » pourrait déraper à n’importe quel moment. Et qui sait, ça pourrait même venir de moi. Cela faisait déjà 2 mois que je n’avais pas vu le loup, et je devais avouer que ça commençait à me démanger sérieusement. Alors, me retrouver avec lui, chez lui, avec peu de distance, voire pas du tout, entre nous, je ne pense qu’il ne m’en faudra pas beaucoup plus.
La veille, je décide donc de mettre toutes les chances de mon côté, et de me préparer à l’éventualité.
« Toujours prêt ! » comme dirait les scouts.
Et puis, ça ne me fera pas de mal d’aller chez l’esthéticienne, je dois avouer m’être laissée un peu aller, du coup, et le début de la saison hivernale n’a pas aidé ; je sais que je vais vite le regretter. Allez, c’est pour la bonne cause !
Mais, si tout se passe comme je l’espère, ma souffrance sera bien récompensée. D’ailleurs, c’est à cela que je pense pour ne pas me focaliser sur la douleur pendant que ma tortionnaire arrache une à une les bandes de cire. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire franchement …
C’est l’heure. Il est venu me chercher en voiture. Il ne voulait pas que je prenne les transports. Quelle jolie attention de sa part pour notre premier tête-à-tête.
Je n’ai pas voulu en faire trop niveau tenue, après tout, c’est juste une soirée « posée » chez lui. J’ai donc misé sur le simple-mais-efficace : un jeans slim bleu délavé, un haut beige clair aux manches courtes, avec tout de même un joli décolleté, et des bottes à talons compensés marron.
Dans la voiture, on se fait un petit bisou sur la bouche pour se dire bonsoir. On a déjà tellement parlé que ça semble naturel, même si, c’est la première fois que l’on se revoit depuis la fameuse soirée. On parle de tout et de rien pendant le trajet, c’est tellement agréable de parler avec lui, de toute façon, il a toujours quelque chose à dire et il a aussi du répondant ce que j’aime particulièrement.
Une fois, chez lui, il me fait faire le tour du propriétaire, et je dois avouer que j’apprécie beaucoup l’agencement de son 3 pièces et la façon dont il l’a décoré. Des touches orientales et ethniques. Peut-être en rapport avec les arts martiaux qu’ils pratiquent et ses origines africaines. Pendant qu’il commande les pizzas, je remarque des livres qui parlent de mythologies et légendes, ce qui me fait sourire. Et pendant un court instant, je me dis que ce mec est peut-être mon âme sœur.
Quand il me rejoint, il a 2 flûtes et une bouteille de champagne dans les mains.
« - Je pensais que c’était une soirée cool … »
« - Ceci n’empêche pas cela, et passer cette soirée avec toi, me semble une bonne occasion pour ouvrir cette bouteille »
Quel charmeur.
On trinque donc à ce premier rendez-vous. L’instant d’après, la sonnerie de son interphone retentit. C’est le livreur de pizzas.
Je meurs de faim. Je ne perds donc pas de temps pour me servir, et ne fais pas non plus la fine bouche, pendant qu’il met en route le dvd du premier film de la trilogie.
« - Ça fait plaisir de voir une femme manger de bon cœur comme ça »
« - Manger fait partie des plaisirs simples de la vie donc je ne me prive pas, je préfère aller courir après ! »
On rigole.
Pendant le déroulement du film, on se rend compte qu’on connait par cœur, pas mal de répliques, et on s’amuse à les sortir en même temps. De vrais (2)geeks !
À la fin du film, il reste encore quelques parts de pizzas et quelques bulles dans la bouteille.
On enchaîne vite avec le deuxième volet. Je n’ai plus de place pour de la pizza, mais je prends volontiers une dernière coupe de champagne.
Je me suis naturellement retrouvée dans ses bras, à demie allongée sur son canapé, ma foi, une position très confortable. Je m’étais déjà débarrassée de mes bottes pour être plus à l’aise. J’ai pu me rendre aussi un peu plus compte de sa musculature. Il avait un tee-shirt col V à manche longue gris, très près du corps, on pouvait donc très bien distinguer la forme de ses bras, ses pectoraux etc… En bas, il avait un simple bas de jogging, gris également, bien descendu sur ses hanches, ce qui dévoilait une jolie cambrure. Et il avait fait une natte grossière avec ses locks qui lui arrivait au niveau des omoplates, quant à sa barbe, toujours bien entretenue. Il était beau et sa tenue aussi décontractée que sexy sur lui.
Au milieu du film, il me serre un peu plus contre lui, plonge sa tête dans mon cou, et inspire un grand coup.
« - Huum... Tu sens bon. » Et il dépose un baiser sur mon cou, ce qui me fait légèrement frissonner.
Est-ce que c’est le signal pour dire qu’on ne va pas regarder toute la trilogie ce soir ?
Une de ses mains, passe sous mon haut et caresse doucement mon ventre avant d’arriver sur ma poitrine.
« - Ton décolleté m’a nargué toute la soirée ».
Il m’embrasse à nouveau dans le cou et dans le creux de mon épaule.
« - Je crois que je vais avoir du mal à me retenir plus longtemps de te toucher ».
« - Alors ne te retiens pas ».
En disant cela, je me suis redressée, et retournée vers lui. J’ai moi-même enlevé mon haut et je me suis penchée vers lui pour l’embrasser. Nos bouches avaient le goût de champagne.
Pendant qu’on s’embrasse, ses mains caressent mon dos, et dégrafent mon soutien-gorge. Je me redresse alors pour lui permettre de me l’enlever complètement et de mettre dans sa bouche, mes tétons déjà durcis par l’excitation.
Puis, d’un coup, il m’attrape par les fesses, me dit de m’accrocher et me soulève du canapé comme si je n’étais rien.
« - J’ai envie de toi ».
Et nous voilà parti, je présume, en direction de sa chambre, laissant le film tourner et (3)Frodon se démerder avec sa quête.
Arrivés dans ce qui est effectivement sa chambre, il me dépose sur son lit, se penche sur moi pour m’embrasser tout en descendant le long de mon corps, pour arriver à la ceinture de mon jeans qu’il s’empresse de détacher et de m’enlever. Je me retrouve donc en string sur son lit, lui debout en face de moi. Il enlève son tee-shirt, et la vue de tous ses muscles me fait mouiller encore plus la dentelle entre mes cuisses. J’aperçois aussi la bosse à travers son jogging gris, qu’il fait descendre au même moment, laissant apparaître un boxer blanc tendu au maximum à cause de la superbe érection qu’il arborait.
Je n’ai pas le temps de trop l’admirer, car il se penche à nouveau sur mon corps. Il embrasse mes cuisses. Il y dépose des baisers sur chacune d’elle, tout en remontant jusqu’à mon pubis qu’il embrasse à travers la dentelle de mon string. Il prend son temps. Je ne sais pas si j’aime ça ou si je veux qu’il y aille franchement. Il continue de remonter. Il passe sa langue le long de mon ventre jusqu’à mes seins, qu’il prend plaisir à sucer à nouveau. En même temps, une de ses mains se place entre mes cuisses et pousse le string sur le côté. Ses doigts partent à ma découverte.
« - Huum, tu mouilles déjà pour moi, j’aime ça ».
Il me montre qu’il porte un de ses doigts à sa bouche pour me goûter. Wouaw !
« - Tu es délicieuse en plus ».
Il se redresse, saisit mon string sur les côtés et tire dessus pour me l’enlever. Sans attendre, il plonge la tête dans mon intimité. Sa langue tourne dans tous les sens et me fait tourner la tête en même temps. Et quand il me pénètre avec, mon réflexe est de poser mes mains sur sa tête et d’appuyer, je ne veux pas qu’il arrête, c’est trop bon, cette langue chaude qui me fouille. Moi, qui ai l’habitude de retenir mes gémissements, je me surprends à pousser des cris très graves, ce qui ressemble d’ailleurs plus à des grognements de bêtes sauvages.
Sans prévenir, des spasmes prennent possession de mon corps, et je lâche un puissant grognement de jouissance que je ne me savais moi-même pas capable de sortir.
À cet instant, je ne peux pas m’empêcher de penser que la souffrance de mon épilation intégrale la veille en valait vraiment la peine.
Il continue à me lécher doucement comme si il ne voulait pas perdre une goutte de mon extase. Mes jambes tremblent sans que je puisse les contrôler.
Quand il relève la tête, il me regarde droit dans les yeux, et je peux lire dans son regard de la satisfaction mais surtout du désir, et de l’excitation. Il se met debout pour enlever son boxer, et me dévoiler sa verge, qui, je pense, n’en pouvait plus d’être coincée dans ce morceau de tissu devenu trop petit pour la contenir. Un magnifique outil de plaisir que je m’apprête à goûter. Je me redresse donc pour me mettre à genoux sur le lit devant lui. Je me pose ma main sur ce bel engin, humecte mes lèvres et …
« - Non, je sais ce que tu veux faire, ma puce, mais ce n’est pas comme ça que je prends mon pied »
Tiens, je crois que c’est bien la première fois qu’un homme refuse que je lui fasse une fellation. Mais, c’était sans savoir ce qui m’attendait ensuite.
Il me demande donc de me retourner en position levrette et de m’avancer un peu pour qu’il ait, bien sûr, assez de place pour se positionner derrière moi. Il caresse tendrement ma croupe de ses deux grandes mains, empoigne mes fesses et les claque. Il glisse son sexe entre mes cuisses sans me pénétrer. Il se frotte à moi. Cette sensation nous stimule tous les deux. Je l’entends respirer un peu plus fort, et mon bassin se met à bouger tout seul. Après quelques secondes ou minutes, il se penche vers sa table de nuit, et en sort un préservatif mais aussi un tube de gel lubrifiant. Et en voyant le tube, je me dis qu’il n’en aura certainement pas besoin vu l’état dans lequel il me met, mais qu’il est quand même prévoyant.
Il enfile très vite la capote, et me caresse avec une main pour s’assurer que je suis prête à le recevoir.
« - Hum, je me trompe ou tu es impatiente de me sentir en toi ? »
Je souris, et me penche bien en avant en écartant les cuisses, en guise de réponse. Ses premières pénétrations sont lentes mais profondes, il se retire entièrement à chaque fois avant de revenir toucher le fond de mon être. Cela me procure un tel plaisir, que j’ai bien cru jouir après seulement quelques va-et-vient.
Quand il prend un rythme plus soutenu, je ne peux pas non plus retenir mes gémissements, il a une façon particulière de bouger, comme si ses reins ondulent à la manière de vagues, et je ressens ces vagues jusque dans mon ventre. C’est divin. D’ailleurs, il a dû sentir quand j’ai commencé à perdre de pied, car au moment où mon corps s’est mis légèrement à trembler, il a accéléré et quelques instants après j’explosais autour de lui.
« - J’aime ta façon de gémir et de perdre le contrôle » qu’il me glisse à l’oreille alors qu’il s’est penché sur moi, mais toujours à l’intérieur de moi.
Il continue ses mouvements de reins toujours aussi bons, mais je l’entends ouvrir le tube de lubrifiant. Je ne me pose pas longtemps de questions, puisque je sens le liquide couler sur mes fesses. Cette petite sensation de fraîcheur est même agréable. Donc, pendant qu’il maintient le rythme, avec une de ses mains sur ma hanche, l’autre main, étale le gel sur mes fesses. Et puis, je sens son pouce glisser vers mon anus, et le caresser délicatement pendant un moment, avant de forcer doucement l’entrée. Je mentirai si je disais que cette stimulation en plus de la pénétration vaginale n’était pas troublante ou excitante. De plus, ce n’était pas le premier à s’aventurer dans cette partie de mon anatomie, mais je devais admettre qu’il faisait preuve de plus de savoir-faire.
Il fait des mouvements circulaires et en même temps, va et vient avec son pouce, et je me rends compte qu’il arrive à le rentrer complètement en moi, ce qui me surprends moi-même. Et tout cela, sans arrêter de mouvoir son sexe en moi. Franchement, je ne sais plus où donner la tête, je me sens submerger de différentes sensations aussi bonnes les unes que les autres.
« - Tu aimes ce que je te fais avec mon pouce ma puce ? Je crois que tu es plus que prête là »
Evidemment, j’aurai dû tout de suite comprendre que ce n’était qu’une façon de me préparer à ce qu’il voulait vraiment me faire.
Je le sens donc se retirer de ma fente, mais je sens toujours son pouce s’appliquer en moi, en guise de préliminaires. Il fait à nouveau couler du lubrifiant sur son pouce, et en rajoute, je suppose, sur la capote. Quelques secondes après, il fait l’échange. Il s’introduit en moi. Centimètres par centimètres, et je peux l’entendre gémir tout le long de cette première pénétration.
En ce qui me concerne, j’ai retenu ma respiration, mais je reste étonnée de la facilité avec laquelle mon orifice l’accueille.
« Aaaaah. Voilà, c’est ça que j’aime ma belle ! »
Il commence alors à bouger d’avant en arrière, ni trop vite, ni trop lentement, et avec son autre main, caresse mon clitoris.
Ce n’est définitivement pas la pratique que je préfère, mais je me surprends, néanmoins, à prendre du plaisir, ce qui n’avait pas été le cas, la dernière et lointaine fois que j’avais laissé un homme me sodomiser.
Avec le temps passé en levrette, et le plaisir décuplé par l’étroitesse de mon petit trou, le supplice qui n’en est pas vraiment un, ne dure pas, car il ne tarde pas à jouir.
Il lâche un de ses « OooOoooOh ! », que j’ai l’impression que la pièce toute entière tremble.
D’ailleurs, il se retire presque instantanément, et s’effondre sur le lit, apparemment vidé et satisfait. Ce qui me fait éclater de rire.
Après avoir repris tous les deux nos esprits, nous avons pris une douche ensemble, et nous nous sommes enroulés dans des serviettes. Nous sommes retournés dans le salon pour finir notre soirée trilogie/pizzas, il a même ouvert une autre bouteille de champagne.
De la pizza, et du champagne après une bonne séance de sexe torride, (4)What Else ?
« Fellation du Matin, Repose le Vagin,
Sodomie du Soir, Repose la Mâchoire »
TALEENAH
"Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée." Boris VIAN
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(1)Trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson tirée des livres de Tolkien (2)Personne passionnée par un ou plusieurs domaines précis souvent liés à l’imaginaire (ciné, bd, jeux vidéos ...) ou encore aux sciences, à la technologie et l’informatique (3)Frodon Sacquet, le hobbit, le personnage principal de la trilogie, ayant pour mission de détruire un anneau maléfique (4)Trad. Anglais : quoi d’autre ? Besoin de rien d’autre en fait, il n’y a rien de mieux que ça. En référence aussi à la pub Nespresso, fameuse réplique de Georges Clooney
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