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Massage Intégral

  • Photo du rédacteur: Taleenah
    Taleenah
  • 17 juin 2020
  • 9 min de lecture

Dernière mise à jour : 14 août 2021






J’avoue avoir eu ma période sites de rencontres, et je dois admettre que j’ai quand même eu plus de chance que de malchance ... Dieu est grand.

J’aurais quelques drôles d’histoires à raconter sur les « mauvaises » rencontres. Mais ici, il ne sera question que des bonnes, voire très bonnes interactions.

Wesley, martiniquais, motard, la trentaine fraîche.

J’ai le don de tomber sur des accros de la moto alors que personnellement, je déteste ça, ça me fait peur. Ce n’est en aucun cas un atout de séduction pour moi, je ne fais pas partie de ces femmes qui adorent grimper sur ce type de bolides et qui trouvent ça excitant.

Malgré cela, les échanges avec lui ont tout de suite été directs et chauds. Sur le site d’abord, puis par textos et au téléphone.

J’étais dans une période où je n’avais pas envie d’une relation sérieuse, mais je n’avais pas l’intention non plus de faire vœu d’abstinence. Je reste une femme qui a des besoins dotée d'une libido très développée.

« Je regarde tes photos, et je te trouve très sexy, tu m’attires beaucoup, surtout ne le prends pas mal mais j’aimerai avoir la chance de te donner du plaisir avec tout le respect qu’une femme mérite, mais je préfère te prévenir, je suis un gros cochon »

Est-ce qu’on peut être plus clair que ça ? Le ton était lancé.

« (1)Challenge accepted ! » comme dirait Barney Stinson. Donc moi, taquine, je lui demande « Ah oui ? Comment ça, un gros cochon ? »

Ce à quoi il me répond qu’il explorera avec sa langue toutes les parties de mon corps sans exception. Après ce premier échange, et les quelques autres qui ont suivis, il n’y avait plus de doute sur le fait qu’il serait mon futur amant.

J’avais moi-même fait le tour de son profil et il ne me laissait pas indifférente. Loin de là. Grand, bien bâti, sportif (donc endurant, CQFD), et une bouche qu’on a envie de déguster et qu’on aimerait sentir sur chaque partie de son corps.

On s’est vus une première fois, après le boulot, dans un bar, juste pour boire un verre, histoire de faire monter un peu la pression avant le moment-M.

J’aime faire durer le désir.

On a parlé, on s’est taquinés, frôlés. Je ne savais pas qu’on pouvait à ce point déshabiller une personne du regard. La façon qu’il avait de me fixer puis de balader ses yeux dans mon décolleté me transperçait et m’excitait terriblement.

Au moment de se dire au revoir, debout, à côté de sa moto, il m’a tiré vers lui en disant :

"- Maintenant que je t’ai vu, je sais exactement ce que je vais te faire, tu n’imagines même pas à quel point j’ai envie de toi."

Je n’avais pas besoin d’imaginer puisque je pouvais sentir son début d’érection pendant qu’il me tenait contre lui et qu’on s’embrassait.

Deux jours après, le Jour-J enfin plutôt THE soirée était arrivée. J’étais prête, épilée, parfumée, lotionnée, la totale.

« I’ve gotta feeling ouhhouuhh that tonight’s gonna be a good night, that tonight’s gonna be a good, good niiiight …”

Je pouvais entendre (2)Will-I-Am chanter dans ma tête.

21h. Mon interphone sonne.

C’est lui.

Wouaw !! En plus, il est ponctuel.

Je lui ouvre.

Je surveille son arrivée à travers mon judas, je ne porte qu’un peignoir avec un de mes plus beaux ensembles. Dès qu’il pointe le bout de son nez sur le palier, j’ouvre la porte sans me montrer. Il rentre, son casque de moto dans une main, un sac à dos dans l’autre et sa veste spécial moto qui le rend encore plus costaud qu’il ne l’est déjà. Je lui dis bonsoir, il se retourne, me regarde, sourit, dépose son casque et son sac par terre. Il se rapproche ensuite de moi, m’agrippe les fesses, me retourne mon bonsoir et m’embrasse.

Pendant qu’il enlève sa veste et ses chaussures, je lui demande quand même s’il veut quelque chose à boire ou à manger. Il me répond juste « humhum » en guise de refus.

"- Tu es sûr ?".

Il avance vers moi en souriant, détache le peignoir, l’ouvre, mords sa lèvre inférieure en découvrant mon corps et mon petit ensemble sexy et me dit :

"- C’est ça que je veux".

Pas la peine de répéter. Je l’entraîne donc dans ma chambre. Le peignoir a disparu et pendant qu’on s’embrasse, il dégrafe mon soutif alors que moi je défais son jeans afin d’y glisser ma main et de tenir son membre déjà gonflé pour moi. Mais il ne me laisse pas faire et me pousse sur le lit.

"- Non, je veux d’abord m’occuper de toi, et j’ai apporté ce qu’il faut …"

Il va chercher son sac et une grande bouteille d’huile de massage comestible parfumée à la fraise.

"- Tu te rappelles quand je t’ai dit que j’allais explorer tous les recoins de ton corps ? … Allonges-toi, bébé."

Je ne me fais pas prier ! Je m’allonge donc sur le ventre pendant que lui finit de se déshabiller pour se retrouver en boxer. Il s'installe ensuite sur le lit, à côté de moi, la bouteille d’huile en main, enlève d’abord mon string qu’il fait glisser le long de mes jambes et commence à verser le produit délicatement mais généreusement, de ma nuque, jusqu’à mes mollets. Une odeur de fraise chatouille mes narines.

Quand ses mains se posent sur mon corps, un léger frisson me traverse, un frisson agréable. Il commence le massage, ses mains sont douces, elles glissent tellement bien sur ma peau, un délice.

Il masse ma nuque, mes épaules, étale l’huile sur mes bras jusqu’à mes poignets et mes doigts.

S’attaque à mon dos, ma chute de reins, remonte et descend, encore et encore, huum, c’est tellement bon et bien sûr, atterrit sur mes fesses, où il s’attarde particulièrement.

Les miroirs de mon armoire, située à côté du lit, me permettent de voir à quel point il s’applique. Et je commence à me dire que c’est peut-être le meilleur massage qu’on m’ait fait.

Il continue de descendre. Mes cuisses, mes jambes, mes mollets, mes pieds …

Et… Hein ? Quoi ?

Il massait mes pieds et mon hallux s’est retrouvé dans sa bouche.

Mon Dieu, c’est la première fois qu’un homme mettait mes orteils dans sa bouche ! Il les a léchés, sucés ... Et, ma foi, ce n’était pas du tout désagréable.

Ensuite, il remonte le long de mes jambes, et arrivé en haut des cuisses, à la naissance de la courbe de mes fesses, il plonge ses pouces dans mon entrejambe.

"- Écarte !" m'ordonne t-il gentiment.

Il commence alors à exercer une légère pression sur mon sexe, et mes grandes lèvres avant d’atteindre mon clitoris.

Evidemment, la zone devient de plus en plus chaude et humide, des gémissements s’échappent de ma bouche. Il remonte même un moment jusqu’à mon anus et le masse également.

Oh... My... God !

"- T’aimes ça, bébé ?" … une de ses mains masse mes fesses à nouveau, tandis que l’autre continue son merveilleux travail. Il y dépose, en plus de tout ça, quelques baisers.

Bien sûr que j’aime ça !

C’est officiel, c’est bien le meilleur massage de ma vie !

Seigneur ... Ce mec sait ce qu’il fait avec ses mains !


Il s'arrête pour me demander de me retourner.

"- Le massage n’est pas fini ma belle." me dit-il.

Je m’exécute.

Il m’embrasse puis me fait goûter ses doigts qui ont le goût de fraise, reprends la bouteille d’huile et en verse de nouveau sur moi. Ses mains se mettent alors à masser ma poitrine, mes tétons sont droits et durs, il n’hésite pas à les mettre dans sa bouche et à tirer légèrement dessus. Je gémis. Il descend ensuite le long de mon ventre, jusqu’à mes cuisses en passant par mon pubis fraichement épilé.

"- J’aime ton corps."

Il me le prouve avec chacune de ses caresses.

Une de ses mains remonte le long de mes cuisses pour s’arrêter à nouveau sur mon sexe toujours aussi humide, il recommence ses caresses délicieuses, et me demande si je veux qu’il y mette les doigts.

"- Oui ? C’est vrai ? Un, deux ou plus ? Dis-moi, bébé."

Quand il a glissé profondément deux doigts en moi, mon corps s’est cambré. J’ai commencé à gémir de plus en plus fort sous le mouvement de ses doigts experts pendant que lui me regardait me tordre de plaisir.

"- Je vais jouir, je vais jouir, je vais jouir !" Je sentais effectivement que l’orgasme était proche. Et il répondait calmement qu’il était là pour ça tout en accélérant le mouvement de sa main.

"- C’est bien, bébé, ton premier orgasme de la soirée."

Mais, ce n’était que le commencement, on n'était qu’aux amuse-bouches.

Et là, c’était à mon tour de le masser … avec ma bouche. Je me relève pour me mettre à quatre pattes face à lui, qui était à genoux sur le lit, débarrassé de son boxer, et qui brandissait fièrement son joujou nervuré, au garde-à-vous. Et il avait de quoi être fier. Quand une queue est belle, il faut dire qu’elle est belle.

J’ai d’abord commencé à passer ma langue le long de sa verge, sur son gland, comme pour en prendre toute la dimension avant de la mettre dans ma bouche. Il était particulièrement sensible au niveau du gland, et tressautait à chaque coup de langue, ce qui m’amusait.

"- Tu le fais exprès, hein !"

Évidemment.

On était positionnés sur le lit de telle façon que lui, pouvait admirer mon cul dans le miroir de l’armoire, et tout le reste, vu la position dans laquelle moi-même j’étais. Il en profitait donc pour caresser ma croupe, la fesser, et en se penchant juste assez au-dessus de moi, à insérer un doigt dans ma fente.

Et le plaisir que ça me procurait, m’incitait à redoubler d’efforts et de technique pour lui en donner autant qu’il m’en donnait. Sentant son excitation monter de plus en plus, j’ai rajouté la main pour accompagner les mouvements de ma bouche et de ma langue. Je l’entendais gémir, me dire que c’était bon. J’accélère, puis, je ralentis, je joue sur le rythme de sa respiration jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et lâche tout dans ma bouche et dans ma main dans un grand râle.

"- Ahh ouais, c’était trop bon, bébé, ça m’a donné envie te goûter, retourne toi !"

Il veut que je me mette en position levrette devant lui. Une fois en place, il embrasse, mordille mes fesses, pendant qu’une de ses mains caresse à nouveau mon clitoris, puis il me demande de bien me pencher en avant. Je sens alors sa langue chaude et douce se glisser entre mes lèvres et commencer à explorer toute mon intimité, ce qui me met dans tous mes états.

Mon Dieu, que c’est bon !! Il sait encore mieux se servir de sa langue !

Je la sens aller de bas en haut, de haut en bas, s’attarder sur mon petit bouton de chair turgescent et me pénétrer. Je gémis de plus en plus fort, je suis au bord de l’explosion. Lui, s’en donne à cœur joie. Oh !... Sa langue remonte jusqu’à mon anus qu’il lèche aussi.

Jésus, Marie, Joseph ! C’est vrai que c’est un gros cochon !

Quand il a dit qu’il explorerait toutes les parties de mon corps, il ne mentait pas !

Il revient au point de départ et me supplie de jouir dans sa bouche, ce que je ne tarde à faire.

"- Humm, maintenant, dis-moi que tu veux que je vienne en toi."

J’en crevais d’envie, ouais !

"- Oui, viens en moi, dépêche-toi !"

Il se relève rapidement pour récupérer une capote et l’enfiler alors que je suis restée dans la même position, et le moment qui suit, je le sens enfin. Il rentre lentement en moi, me remplit délicieusement. Je l’entends pousser un long soupir, alors que moi, j’ai inconsciemment retenu ma respiration.

Il commence à prendre un rythme et mon bassin se met à bouger aussi, sans vraiment que je contrôle quoi que ce soit. Nos mouvements s’accordent naturellement, parfaitement, pour notre plus grand plaisir. Il me donne une petite tape sur les fesses, et accélère. Puis ralentit à nouveau.

"- Vas-y !"

Mais lui me répond non, qu’il veut prendre son temps, faire durer le plaisir. Et je ne peux pas lui en vouloir, c’est vrai que c’était bon comme ça. Il donne quand même des coups vifs, de temps en temps, ce qui m’arrache à chaque fois un cri de plaisir.

Salaud, ça l’amuse !

Et puis il se décide enfin, à accélérer de nouveau. Ses coups de reins, son sexe en moi, me donnent des frissons qui parcourent entièrement mon corps, comme un courant électrique. Je m’abandonne au plaisir et succombe donc à mon troisième orgasme de la soirée. Après encore quelques va-et-vient, il pousse un grognement profond en s’agrippant à moi.

Il se débarrasse vite de la capote, on s’allonge sur le lit, et on s’endort … Mon sommeil sera coupé quelques heures plus tard par ses mains baladeuses et expertes, et ça sera reparti pour un tour.


TALEENAH


"Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée." Boris VIAN


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(1) Trad. Anglais : « Défi Accepté ! » célèbre réplique du personnage de Barney Stinson dans la série How I met your mother (2) Will-I-Am du groupe Black Eyed Peas – Titre: I gotta feeling – Album: The E.N.D

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