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Initiation Orale

  • Photo du rédacteur: Taleenah
    Taleenah
  • 19 juin 2020
  • 7 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 déc. 2021





Mon chéri et moi sommes ensemble depuis environ deux mois mais nous n’avons pas encore « sauté le pas ». Pourtant, je suis déjà très attachée à lui. Nous avons juste décidé d’un commun accord de vraiment prendre notre temps car nous sortons tous les deux de relations qui n’ont pas fonctionné. De mon côté, c’est aussi et surtout parce qu’avant lui, je n’ai connu que 2 hommes dont je n’ai pas gardé un souvenir impérissable sexuellement parlant et que j’appréhende un peu. Comme on dit, jamais deux sans trois. Lui, de son côté, a eu plusieurs conquêtes. Normal, c’est un bel homme de 30 ans.

Bref, c’est samedi soir et nous sommes en petit comité chez un de ses amis, à boire et à manger.

Ça parle, ça rigole et bien sûr, ça finit par parler sexe. Mais quand le sujet du cunni et de la fellation arrive, je me fais discrète et ne prends pas part à la conversation. Non pas que je sois timide ou coincée ou que je n’aime pas ça, non, c’est tout simplement que je ne peux pas parler de ce que je ne connais pas. Eh oui, du haut de mes 26 ans, je n’ai jamais fait de pipe (bon si, ok, une fois, 2 minutes, et ce ne fut pas glorieux), ni reçu de cunni. J’écoute donc les autres parler de ça comme d’une gourmandise, d’un amuse-gueule, d’un péché mignon … Même mon chéri sort 2/3 blagues sur le sujet. Pendant une minute, je me sens même gênée et je me lève en feignant d’aller me prendre un truc à boire.

- « Ça va pas ? T’as l’air bizarre, tu ne parles plus »

Je n’ai même pas vu qu’il m’avait suivie.

- « Oui, ça va, t’inquiètes, c’est juste que je me suis sentie un peu à part dans votre conversation »

- « Ah bon ? Pourquoi ?... C’est pas comme si tu ne connaissais pas ça »

- « Ouais, si, je connais … mais bon… »

- « Mais bon quoi, dis-moi… »

Et il se rapproche de moi en me tenant par la taille. J’hésite un instant à lui dire. Ses mains remontent alors au niveau de mes aisselles et il commence à me chatouiller, ce qui me fait tout de suite éclater de rire.

- « Ok, ok, arrête ! » Il arrête.

- « Bon, je t’ai déjà dit que j’avais essayé qu’une fois la fellation, mais le cunni… Bah en vrai… On ne m’en a jamais fait… »

À mes mots, il marque un petit temps d’arrêt, l’air un peu surpris, puis il me sourit et m’embrasse.

- « Je vais m’occuper de ton initiation avec plaisir, ma puce, ce soir même, si tu veux »

Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il a dit ? Tout s’accélère d’un coup dans ma tête, et même si je mentais en disant que je n’en avais pas envie, je bigidi devant sa proposition.

- « Alors, je leur dit qu’on s’en va ? ». Quoi ? Maintenant, en plus ? C’est à croire qu’il en a encore plus envie que moi. J’acquiesce et on sort une excuse pour s’enfuir rapidement.

Une fois, chez lui, pas la peine de réchauffer l’ambiance, elle est déjà électrique, pendant tout le trajet en voiture, on s’est chauffés avec des petites caresses. D’ailleurs, il ne perd pas de temps et m’entraîne direct dans sa chambre. On s’embrasse passionnément, je ressens tout le désir qu’il a pour moi, son souffle chaud, sa respiration qui s’accélère, la façon qu’il a de me presser contre lui. Je sens sa force, ses muscles, LE muscle déjà en érection. Je suis moi-même toute excitée, déjà humide, impatiente. Je porte une robe qu’il m’enlève rapidement, je me laisse faire et je me retrouve donc en sous-vêtements. Lui enlève son polo. Mais dans l’action le médaillon de sa chaîne en or reste coincé par un des boutons. J’interviens pour l’aider. Ça me fait rire et détend un peu l’atmosphère, en ce qui me concerne. Enfin débarrassé de son polo, il décide apparemment de garder son jeans, pour le moment. Il m’embrasse dans le cou, ses mains chaudes et puissantes parcourent mon corps et dégrafent ensuite mon soutif.

- « Huum… J’ai tellement envie de toi… Et je n’arrive pas à croire que je vais être le premier à te goûter »

Il me demande de m’allonger sur le lit et se place au-dessus de moi. Il embrasse mes seins, les lèche, les tète, sa bouche est tellement douce. Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà autant apprécié qu’on s’occupe de mes seins. Ça ne présage que du bon pour la suite. Il descend le long de mon corps, jusqu’à mon bas-ventre avec des baisers, et je me rappelle subitement que mon épilation n’est pas toute fraîche, d’ailleurs, c’est volontaire de ma part.

Allez, je sais bien que je ne suis pas la seule femme à penser que la non-épilation peut nous freiner/sauver/empêcher de franchir la limite charnelle. Malheureusement, ce n’est pas une science exacte.

Je le stoppe tout de même dans son élan.

- « Non, attends, ‘suis pas épilée ! »

Il rigole, secoue la tête, et me sort même un petit « tchip » qui me laisse à mon tour surprise. Il continue donc ce qu’il faisait en me demandant gentiment de soulever mes fesses afin qu’il m’enlève ma culotte rouge et ajoute même, que c’est une couleur qui me va bien. Je serais moi-même de la même couleur, si je pouvais vraiment rougir.

Il place alors sa tête entre mes cuisses et plonge le nez dans mes poils, souffle légèrement dessus (sensation nouvelle et agréable ma foi), et y glisse un doigt pour se frayer un chemin et vérifier mon niveau d’excitation pour finalement placer sa bouche sur la zone en feu. A ce moment précis, mon malaise sur ma pilosité disparaît. Il m’avouera après que les poils ne le dérangent pas, bien au contraire, il n’est pas fan des modèles à la brésilienne ou à la Kojak. Pour lui, une femme, ça a des poils, il ne faut simplement pas que ça ressemble à la forêt amazonienne, c’est tout.

Quand sa langue force doucement l’entrée de mes petites lèvres pour rentrer dans mon sanctuaire humide et remonte ensuite caresser mon clitoris turgescent, je me sens presque défaillir.

Aaaah… C’est donc ça… Ca y est, enfin ?!...

Il refait exactement la même chose, et je lâche un gémissement. Il s’arrête un instant pour me regarder. Ca ne dure que quelques secondes, mais j’ai l’impression d’une éternité. Son regard est sombre, je n’avais jamais vu cette expression sur son visage auparavant. Mon Dieu, mais qu’est-ce c’est ? Que va-t-il me faire ?

Maintenant, il écarte bien mes cuisses et passe son bras autour de l’une d’elle, afin que sa main vienne se poser sur mon sexe. Il glisse alors ses doigts entre mes grandes lèvres et il les écarte un maximum pour bien dégager mon clito et le reste. Et là, il plaque sa bouche sur la totalité de ma vulve et je peux sentir sa langue tournoyer, m’explorer, me lécher, sa bouche m’aspirer …

OoooOooh Wouaw ! Seigneeeuuuur, que c’est boooon.

Une chaleur envahit mon corps tout entier, je me tords, je gémis, je tremble même. Je ne savais pas qu’une langue pouvait faire autant de bien. Comment ai-je pu passer à côté de ça aussi longtemps ?... Tous les hommes devraient pratiquer cette merveille ! Et même si c’est ma première fois, je sens qu’il s’applique, qu’il prend en compte mes réactions à chacun de ses coups de langue ou succion et joue avec, mais surtout qu’il y prend du plaisir. De plus, il s’amuse à faire durer le mien, il doit sentir quand je suis au bord du précipice, car il s’arrête pour embrasser et mordiller l’intérieur de mes cuisses.

- « Encore ma puce ? Tu aimes ce que je te fais ?... Je pourrais te lécher pendant des heures, tu es comme du sirop pour moi »

Mon Dieu, ses paroles me rendent folle. Oh oui, je veux qu’il continue, oui, je veux enfin découvrir ce qu’est la jouissance. En effet, l’orgasme aussi, je ne suis pas sûre de l’avoir déjà réellement atteint. Je veux savoir ce que c’est que d’être submergée par cette sensation du plaisir ultime, et l’émotion de partager ce moment avec quelqu’un que l’on aime.

Au même moment, il introduit un puis deux doigts en moi tout en continuant à me lécher. Mes gémissements se transforment en véritable cris, je sens que j’atteins le point de non-retour, oui, ça ne peut être que ça. Je n’ai jamais ressenti quelque chose de si violent et de si bon à la fois, il le sent aussi car il s’active encore plus, et quelques secondes après, j’explose dans sa bouche et sur ses doigts.

Il relève la tête, sourire aux lèvres.

- « Ils ne savent pas ce qu’ils ont raté … D’ailleurs, je n’ai pas fini, mais ton initiation passe aussi par là… »

Debout en face de moi, il détache son jeans, qu’il enlève en même temps que son boxer, et je découvre pour la première fois, son sexe … en érection. Ce n’est que le troisième que je vois, mais celui-là... C’est possible de trouver un pénis beau ? Apparemment. Taille, forme, épaisseur, couleur même, l’ensemble est tout à fait harmonieux. Je suis maintenant assise sur le bord du lit et lui, est à portée de ma bouche. Pour cette nouvelle tentative, je ne veux pas me rater, j’ai vraiment envie de bien faire et de lui donner du plaisir. Après l’orgasme qu’il vient de m’offrir, il le mérite amplement.

Comme si il avait compris que j’avais besoin d’un peu d’encouragement et de conseils, il me dit que c’est moi qui lui fait cet effet-là, qu’il ne bande que pour moi, que je peux prendre mon temps, et y aller doucement.

Je commence donc à effleurer sa verge bien dure du bout des lèvres et de ma langue sur toute sa longueur. Je viens ensuite titiller son gland, ce qui le fait réagir d’ailleurs. Intéressant. Je décide alors de le prendre dans ma bouche. Il gémit. Et ce simple gémissement, m’encourage à y aller plus franchement. J’entreprends un va et vient avec ma bouche, d’abord lent, le temps de m’habituer à la bête, de l’apprivoiser. J’accélère ensuite légèrement. Ces gémissements deviennent plus appuyés, il me dit que c’est bon, son bassin accompagne le mouvement de ma bouche. Je dois avouer qu’à cet instant, je suis fière de moi. Si on m’avait dit qu’un jour, j’arriverai à donner du plaisir à un homme avec ma bouche et qu’en plus, j’en tirerais quelconque satisfaction, je ne l’aurais absolument pas cru. Faut croire que je n’étais juste pas encore tombée sur le bon partenaire.

Au bout de quelques minutes, il m’arrête et me dit que c’est un très bon début, ce à quoi je réponds que j’aurai le temps d’améliorer ma technique.

- « Oh oui, on a tout notre temps … »

Il vient se replacer entre mes cuisses, la tête la première, et me fait jouir jusqu’à ce que je n’en puisse plus.

C’est ainsi que se passera notre première nuit, une totale initiation aux plaisirs oraux avec en prime, mon premier 69. Je dois travailler sur la concentration pour cette position, mais on l’a dit, nous avons tout notre temps …



TALEENAH


"Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée." Boris VIAN




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