In The Dark
- Taleenah
- 17 juin 2020
- 13 min de lecture
Dernière mise à jour : 16 mars 2021

On se parle déjà depuis trois semaines, tous les jours, mais uniquement à l’écrit.
Des tonnes et des tonnes de messages. Sans l’avoir jamais vu, ni entendu, je suis déjà accro. Enfin, on a tout de même échangé quelques photos, après une semaine.
Je suis accro à ses mots, à son humour, à sa vision du monde, à son intelligence, à ses histoires, à ses blagues, à ses jeux de mots, des fois débiles, qui me font pourtant rire ou sourire, à son côté taquin et des fois coquin, très coquin.
Et pourtant, on n’a jamais encore pris le temps de se téléphoner, au moins pour entendre nos voix. Avec nos emplois du temps respectifs, c’est un peu compliqué. Je vis la nuit et lui, le jour.
Combien de fois, je me suis réveillée avec un pavé de sa part dans mes messages. Soit pour rester dans la continuité de la conversation de la veille, soit pour me raconter une anecdote, ou encore me dire ce que je lui inspire.
Pendant trois semaines, on s’est parlés par messages interposés mais jamais vraiment de façon instantanée.
Puis, un soir tout s’est accéléré.
J’ai des jours de congés à prendre, ce qui du coup, me libérera pas mal de temps. Du temps pour moi, mais je pense surtout pour lui et moi. Pour se parler plus et qui sait enfin s’entendre et pourquoi pas même enfin se rencontrer.
Je lui envoie donc un message
« - Cher ami, à partir de ce soir, je suis en congés pour 15 jours ».
L’instant d’après mon téléphone sonne. Un numéro inconnu. C’est lui ?
Je décroche.
« - Mon oiseau de nuit va donc enfin rejoindre le monde des vivants ? »
Mon cœur s’arrête une demie seconde. Mon Dieu, c’est bien lui. Sa voix est chaude, douce, elle coule dans mon oreille, une vague de chaleur m’envahit, mais je dois vite me ressaisir et lui répondre.
« - Eh bien, quel plaisir d’entendre enfin ta voix, il était temps hein ? »
Je l’entends sourire.
« - N’est-ce pas, mais tout le plaisir est pour moi. Dieu seul sait que j’ai souvent imaginé quelle voix tu pouvais avoir et bien d’autres choses d’ailleurs »
A mon tour de sourire, il a dit « et bien d’autres choses », j’ai évidemment imaginé plein de choses de mon côté également, mais le fait qu’il le dise ouvertement me donne encore plus chaud.
« - Alors pas déçu ? »
« - Absolument pas, je pourrais t’écouter pendant des heures »
Et c’est ce qu’il a fait. On a parlé toute la soirée et une bonne partie de la nuit. On a beaucoup ri, on a aussi abordé des sujets plus sérieux. Cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps, ce genre d’échange sans fin. Tellement agréable que malgré les heures déjà écoulées, on ne veut pas raccrocher, on ne veut pas se séparer. Pourquoi avions nous attendu si longtemps franchement ?...
« - Je vais finir par croire qu’on est vraiment fait l’un pour l’autre … »
A ces mots, je fonds.
Et moi qui m’étais inscrite sur ce site sans grande conviction, pour ne pas dire aucune, j’envisageais même de supprimer mon compte au moment où il est venu me parler. Et, nous voilà aujourd’hui.
Bien sûr, l’heure avancée de la nuit, fait maintenant prendre à notre conversation, un autre cap, plus sensuel, plus intime, carrément sexuel. Il me demande de lui décrire chaque partie de mon corps, car il veut pouvoir s’imaginer le toucher, le caresser et plus encore.
« - Et tes seins, est-ce que je peux en tenir un dans ma main ou au contraire est ce que mes deux mains seront nécessaires ? Est-ce que tu aimes qu’on te les suce, qu’on te les mordille ? Dis-moi…
Je sais déjà que tu es percée et tatouée mais tu n’as pas voulu me dire où, je veux savoir, maintenant… S’il te plait …
Et tes fesses ?... Non, ne dis rien … Putain, je crois que je bande déjà… »
On joue à ce petit jeu pendant un moment, on ne fait que parler, mais je suis comme lui, déjà dans tous mes états et je sens que je suis humide, très humide. C’est fou !
Et puis, il me fait LA proposition.
« - Et si tu venais me rejoindre maintenant, j’ai envie de vérifier tout ça par moi-même, je t’appelle un taxi, il peut être en bas de chez toi dans une vingtaine de minutes, je pense »
Hein, Quoi ?!
Tout d’un coup, il va trop vite ! Et puis, non, ça fait quand même 3 semaines qu’on joue un peu au chat et à la souris. Il veut qu’on se voit, là, maintenant, tout de suite ?!... Je buggue.
« - Allo ? Toujours là ? »
« - Oui, oui ! Je t’envoie l’adresse exacte par texto ! » Et je raccroche.
Je me lève de mon lit d’un bond ! Je lui envoie mon adresse, et je me mets à faire une liste dans ma tête : l’épilation du maillot, c’est bon, je fais juste une toilette ; mais faut quand même que je passe un coup de rasoir sur mes jambes ; et comment je m’habille ? Est-ce que j’ai le temps de me maquiller ?
Cinq minutes après, je reçois un texto. C’est lui qui m’informe que le taxi sera en bas de chez moi dans une quinzaine de minutes. What ?! MERDE !
Ça me laisse quand même le temps de me faire rapidement les jambes mais pas le temps pour le maquillage. Sous-vêtements ou pas sous-vêtements ? Je choisis la deuxième option, et pis ça me fait gagner du temps. La tenue ? J’attrape une robe dans l’armoire. A peine la robe enfilée, j’entends le taxi klaxonner. MERDE ! J’enfile mon manteau, et sors de chez moi pieds nus, mon sac et mes talons à la main.
Je ne reprends mon souffle qu’une fois bien installée dans la voiture.
Je me demande ce que je fous là d’ailleurs, il est 3h du matin, suis-je complètement folle ou bien ?
Et en même temps, je ne peux pas m’empêcher de sourire, je glousse même. Je lui envoie un texto pour lui dire que je suis dans le taxi en route vers chez lui. Il me répond qu’il est impatient de me tenir dans ses bras et de ne pas m’inquiéter pour la course, qu’il a payée d’avance en ligne.
Quel gentleman ! On ne me l’avait jamais faite celle-là !
Quelques minutes après, le taxi s’arrête devant une résidence. Je mets mes talons et descend de la voiture. Entre temps, il m’a envoyé un autre message pour me donner le code de la porte d’entrée de son immeuble, son étage et le numéro de son appartement.
Arrivée donc au troisième étage, je me dirige vers le numéro de sa porte. Je sonne. La porte s’ouvre. Il n’y a pas de lumière, mais je rentre quand même. Je ne vois rien. La porte se referme aussitôt, et je sens une présence derrière moi.
« - Ne te retourne pas ».
Je reste donc pétrifiée sur place. Je ne fais aucun mouvement, c’est comme si une force invisible m’empêchait de bouger. Et puis, je le sens plus près de moi, maintenant je peux sentir son souffle sur moi, dans mon cou. Aucun mot n’arrive à sortir de ma bouche non plus. J’ai perdu la parole, j’attends juste la suite des évènements.
« - Laisse-moi te débarrasser de ton manteau, et de ton sac, ma puce »
Toujours cette voix, douce et chaude que j’aimais déjà tant au téléphone. Le manteau n’étant pas fermé, il le fait simplement glisser sur mes épaules et mes bras pour me l’enlever, toujours en se tenant derrière moi.
« - Hum, tu sens bon ».
Oui, Dieu merci, j’ai eu le temps de mettre un peu parfum avant de partir.
Tout d’un coup, je sens ses mains se poser sur moi. Je frissonne. Une main sur mon ventre, et l’autre, sur mes seins. Il me fait une remarque sur l’absence de soutien-gorge, et m’embrasse dans le cou. La main qui était posée sur mon ventre est descendue pour attraper le bas de la robe, et la relever.
Lui, s’est complètement collé à moi, et je peux sentir son sexe contre mes fesses, son sexe qui se durcit. Mais, j’ai l’impression que la seule barrière qu’il y a entre nous est le tissu de ma robe. Je me décide enfin à faire un geste, et glisse une de mes mains derrière moi pour le toucher. Et … Je constate qu’il est nu !
« - Oui c’est bien ça, ma belle ».
Et il se frotte à moi. Il prend ensuite ma main et la pose sur son bâton déjà bien raide. Un « Wouaw » traverse mon esprit, et je commence à le masser tout doucement.
La main qui soulève ma robe constate qu’en plus de l’absence de soutif, il y a, absence de culotte.
« - Alors comme ça tu sors de chez toi sans culotte, huum, vilaine fille »
Il décide de m’enlever ma robe, et la fait donc remonter et passer au-dessus de ma tête. Nous sommes à présent tous les deux nus dans le noir. Je frotte mes fesses contre son sexe bandé, ce qui le fait gémir, pendant que lui glisse un doigt entre mes lèvres pour caresser mon clitoris.
Puis, je me retrouve après face à un mur. Et tout en caressant mes seins avec ses deux mains, il commence à déposer des baisers le long de mon dos en descendant jusqu’à mes fesses. Je devine qu’il se met à genoux. Il me demande d’écarter les jambes. Ses mains caressent maintenant mes fesses. Il les embrasse, les mordille. C’est super bon. Il les écarte et passe sa langue sur mon anus, ce qui me fait sursauter. C’est la première fois qu’un homme glisse sa langue à cet endroit. Mais ma réaction ne l’arrête pas, au contraire, il lèche ardemment mon petit trou et je me surprends à gémir sous cette nouvelle sensation.
Sa langue se déplace ensuite pour titiller mon petit bouton de rose déjà ultra sensible. Je gémis plus fort et lui aussi pousse des soupirs. Et je l’entends me dire qu’il a rêvé de ce moment. Il accélère le mouvement de sa langue et insère un doigt en moi. Mes jambes se mettent à trembler, la position debout devient de plus en plus difficile à tenir, et je manque de tomber quand l’orgasme me submerge.
Quand il se relève, il se colle de nouveau à moi et me dit à l’oreille :
« - J’ai envie de te faire jouir jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter … »
Il me retourne et m’embrasse sauvagement, il encore mon goût dans la bouche, nos langues se mélangent, le désir entre nous est immense.
Il me soulève et j’enroule mes jambes autour de sa taille. On continue à s’embrasser mais on change également de pièce. On est maintenant dans sa chambre, et il me dépose doucement sur son lit. Il y a un peu plus de lumière, et je peux mieux voir son corps, il brille un peu avec la sueur, ce qui le rend encore plus beau, il a un physique de rêve, mais je n’en doutais pas, malgré le peu de photos qu’on avait échangé et où il apparaissait pourtant habillé.
Je le vois chercher quelque chose dans un de ses tiroirs, je pense tout de suite à des préservatifs, mais non, il revient vers moi, avec un foulard entre les mains.
« - Tu n’as pas besoin de voir ce que je vais te faire, tu dois juste ressentir, ton plaisir n’en sera que décuplé ».
Tout en me disant cela, il me bande les yeux, et je me laisse faire, c’est nouveau pour moi, mais ça m’excite au plus haut point. Il me demande ensuite de m’allonger. Je le sens qui se positionne à côté de moi, il place mes bras au-dessus de ma tête, puis j’entends un son, comme quelque chose qui vibre. C’est bien ce que je crois ?...
J’ai la réponse à ma question quand le petit vibro qu’il a mis en marche vient taquiner ma poitrine.
Il caresse mes seins avec, tourne autour de chaque téton, je sens de temps en temps sa langue. Ils sont tellement durs qu’ils me font mal. Je gémis de douleur et de plaisir en même temps.
« - Suce-les, s’il te plait »
« - C’est demandé si gentiment … ».
Ça me surprend moi-même. Il s’exécute donc. Il suce, aspire mes seins, j’ai l’impression qu’il arrive même à en mettre un entièrement dans sa bouche. La sensation est exquise, je me tords de plaisir. Pendant, ce temps, avec une de ses mains, il descend le vibro le long de mon ventre, et s’arrête au niveau de mon nombril. Il abandonne mes seins pour reprendre ce qu’il faisait avec le petit joujou.
Il se place entre mes jambes que je replie. Avec le vibro, il dessine sur mon ventre, il le promène sur mon corps, ça chatouille un peu, mais c’est super agréable, il dépose de tendres baisers sur mon ventre en même temps et je peux sentir sa langue jouer avec mon piercing au nombril.
Les vibrations sont maintenant au niveau de mes cuisses, l’intérieur des cuisses. Elles partent du genou pour arriver à mon entrejambe sans jamais toucher la partie sensible. Il répète l’action plusieurs fois sur chaque cuisse, ça m’excite tellement que je commence à me caresser.
Il enlève ma main de mon sexe.
« - Non, non, non, ma belle, pas de ça, c’est moi le Maître de ton plaisir cette nuit, laisse-toi faire »
Je le laisse donc enlever ma main un peu à contre cœur.
Je sens le jouet sur mes lèvres, il les caresse avec, doucement, il survole mon clitoris sans jamais vraiment le poser dessus. La sensation est délicieuse. Je bouge mon bassin pour le pousser à être plus direct, je n’en peux plus d’attendre.
Il se décide enfin et plaque, d’un coup, le vibro sur mon clito. Je lâche un cri, et par réflexe, pose ma main sur la sienne pour le stopper.
« - Si tu continues avec tes mains, je vais te les attacher aussi ! »
Il prend donc ma main et la bloque sur le lit, pendant qu’avec l’autre, je couvre ma bouche pour étouffer mes cris. Il me demande de lui dire quand je vais jouir.
J’arrive à peine à respirer tellement c’est intense, violent, quand je sens les spasmes de l’orgasme,
« - Je viiieeenns ! »
Alors, en une fraction de seconde, il lâche le vibro et ma main pour soulever mon bassin à hauteur de son torse, et plonge sa tête dans ma chatte en furie. Je le sens aspirer mon clito, puis fourrer sa langue au fond de moi et recommencer. Seigneeeuuuur ! JE MEURS !!!
J’essaye de repousser sa tête avec mes deux mains sans succès. Je hurle ! La jouissance est à la limite du supportable. Mais, lui continue à lécher et aspirer sans pitié. Je ne sens plus mon corps, j’ai l’impression d’être dans un état second.
« - Arrête, je n’en peux pluuus, Arrêêêêêête ! »
Des larmes coulent de mes yeux. Je ne contrôle plus mon corps, je ne sais pas, s’il arrêtera un jour de trembler.
Il arrête. Mais, me garde dans la même position. Il souffle doucement sur l’incendie qu’il a allumé.
Et slurrp !
Un autre coup de langue qui me fait crier « S’il te plait !!! »
Je l’entends rire.
« - Voilà ! J’attendais le mot magique ! »
Il repose mes fesses sur le lit. Et remonte le long de mon corps en l’embrassant, pour enfin s’allonger sur moi. Il me retire le foulard sur les yeux et me dit :
« - Je t’avais dit que je te ferai me supplier d’arrêter ».
Malgré cela, je sais qu’il n’en pas fini avec moi, car je peux sentir son sexe dur comme du bois contre mon ventre. Mais, il me laisse un peu de répit, reprendre mon souffle. Pourtant, j’ai envie de le sentir en moi, au plus profond de moi, qu’il me fasse jouir comme ça aussi.
« - Fais-moi jouir avec ta queue, maintenant »
« - Tu oublies encore le mot magique ma chérie ».
Je chuchote donc un s’il te plait à son oreille.
Il se relève pour aller enfiler rapidement un préservatif. Quand il revient vers moi, il me dit que cette fois-ci, il me laisse la vue mais m’attache les mains. Il récupère donc le foulard, et attache mes mains au-dessus ma tête. Ensuite, il se place entre mes cuisses, pose ma jambe droite sur son épaule gauche, et commence à caresser ma vulve avec son gland. Mon bassin se met à bouger tout seul, au rythme de sa caresse.
« - Prête, ma puce ? »
« - Oui »
« - Je n’ai pas entendu … »
« - Oui, vas-yyy ! Je t’en supplie ! »
Et, il me pénètre. Entièrement. Je le sens jusque dans mes tripes. Je me cambre. Lui, ne bouge plus, comme s’il savourait ce moment, cette première pénétration.
Puis, il se penche légèrement sur moi, toujours avec ma jambe sur son épaule, ce qui rend la pénétration encore plus profonde. J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort. Il suce mes seins, en même temps qu’il bouge ses reins doucement en formant des cercles.
J’ai l’impression de suffoquer tellement c’est bon, tellement, je le sens loin en moi, tellement, il me fait perdre la tête.
J’ai envie de le toucher, de caresser son corps, ses fesses, ressentir avec mes mains le mouvement de ses reins, mais je ne peux pas. Je suis à sa merci et j’aime ça. Il s’occupe de mon corps comme s’il le connaissait déjà, c’est surréaliste ! Je n’ai pas le souvenir d’avoir eu autant de plaisir avec les autres hommes de ma vie, surtout en une seule nuit.
Quand il accélère le rythme, les cris que j’étouffais dans ma gorge, éclatent, résonnent dans tout l’appartement comme quand il me léchait ardemment quelques minutes plus tôt.
Je vais mourir. Oui, cette fois-ci, c’est la bonne ! D’ailleurs, n’appelle t-on pas l’orgasme, la petite mort ? Je sens mon âme quitter mon corps. Je vois la lumière. Lui, ne faiblit pas, au contraire, il est tel un marteau-piqueur. Il me parle, mais je n’entends pas, ne comprends rien. Je secoue la tête de gauche à droite frénétiquement, je tire sur le foulard qui retient mes mains, mon corps convulse presque.
Et j’explose en mille morceaux.
Mon corps se déchire de l’intérieur.
Non, je me liquéfie totalement. Ou, tout cela, en même temps …
En fait, je ne sais pas ce qui m’arrive. Ou plutôt, si, je viens de vivre les 2 orgasmes les plus puissants de toute ma vie en une nuit.
« - J’aime te voir jouir, c’est incroyable ».
Par contre, lui, n’a pas encore eu ce plaisir, et pourtant, il s’est retiré. Il me détache. Je saisis alors sa queue, lui demande de s’allonger et lui enlève la capote. Sans ménagement, j’enfonce son sexe dans ma bouche, je m’étouffe presque avec.
Il crie « Putain ! » en se redressant. D’un geste de la main, je le pousse en arrière pour qu’il se rallonge. Quand je relève la tête, je vois qu’il me regarde la bouche ouverte. Je refais exactement la même chose. Il pousse un autre cri et met les mains sur sa tête.
Je commence alors un mouvement de va-et-vient avec ma bouche. Je m’attarde, des fois, sur son gland que je suce, lèche avec mon piercing à la langue. Je l’entends me dire :
« Oui, comme ça »
Cela m’encourage à continuer avec plus d’ardeur. Je lui refais le coup de la gorge profonde. Il tremble de plaisir.
« - Encore » qu’il me dit.
« - Et le mot magique alors ?… » Il sourit.
« - S’il te plait »
A ce moment-là, je suis plus que fière de moi. A mon tour d’avoir un peu le contrôle de la situation. Je m’applique donc, je l’engloutis une nouvelle fois. Il gémit, tremble.
« - Encore ? »
« - S’il te plait ». Je jubile. Je rajoute ensuite la main, en faisant un mouvement de va-et-vient circulaire sur sa verge gonflée, prête à exploser à tout instant.
Quand je sens sa respiration s’accélérée, je fais de même avec ma bouche et ma main.
Quelques secondes après, il m’avertit qu’il va jouir, mais je ne relève pas la tête et continue mon travail de succion jusqu’à que sa sève chaude glisse dans ma gorge.
Là, c’est lui qui me supplie d’arrêter, et essaye de repousser ma tête, mais je continue jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte.
Quand je le libère enfin, son corps tremble encore, il passe la main sur son visage, comme si il ne croyait pas ce qui venait de se passer.
Il me tire vers lui, et me dit :
« oui, c’est sûr, on est fait l’un pour l’autre … ».
TALEENAH
"Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée." Boris VIAN
亚博体育 亚博体育 亚博体育 亚博体育 开云体育 开云体育 开云体育 开云体育 乐鱼体育 爱游戏体育 华体会体育 华体会体育