Caribbean Love
- Taleenah
- 17 juin 2020
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 17 mars 2021

Ça fait des mois que Caroline nous tanne pour qu’on parte à Sainte-Lucie passer le week-end, faire la fameuse Friday Night. De plus, un très bon ami de son père vit là-bas depuis quelques années maintenant et a ouvert son propre établissement. L’hébergement est déjà donc tout trouvé, et à prix d’ami. C’est vrai que c’est tentant, Dieu seul sait que j’en ai déjà entendu parler de cette Friday Night et je dois avouer que je m’y vois bien. Mais, pas facile de s’organiser avec le boulot, tout le monde ne peut pas poser son vendredi en même temps.
Et puis on réussit enfin, à tous trouver un créneau, à se libérer au même moment. On est un petit groupe de cinq personnes : Caroline et son mec Frédéric, le meilleur ami de son mec, Steven, ma meilleure pote Fanny et moi-même.
Allez, embarquement pour 6 heures de bateau entre la Guadeloupe et l’île aux(1)Pitons. On a pris le premier départ pour ne pas arriver trop tard et avoir le temps de se reposer avant d’aller faire la fête.
Le canal de la Dominique nous as mis K.O, et pourtant, en ce qui me concerne, je ne suis pas malade en bateau d’habitude, mais là, c’est autre chose. Frédéric a vomi tout ce qu’il avait dans le ventre, le pauvre.
L’arrivée est vraiment une délivrance. Le temps de gérer les formalités et on peut enfin admirer le paysage. C’est l’ami du père de Caro lui-même qui est là pour nous accueillir et nous récupérer avec son mini van. Direction Marigot Bay, dans le nord de l’île.
Après une vingtaine de minutes de trajet, on arrive dans un charmant petit complexe hôtelier composé de plusieurs petits bungalows, nichés dans une végétation luxuriante, agencés autour d’une immense piscine, et il y a un grand bar-restaurant extérieur où, d’après ce que nous explique le gérant, il y a des animations tous les soirs pendant le service. Il nous montre aussi qu’à quelques pas de l’hôtel se trouve un petit port aménagé avec quelques carbets et bateaux-navettes, lui appartenant, qui servent aux excursions.
L’endroit est vraiment charmant, mais nous sommes tous assommés par la traversée et nous n’avons qu’une envie, nous poser, nous allonger. Arrive le fils du gérant, Thomas, pour nous accueillir aussi, un grand gaillard, assez mignon, mais un peu plus jeune que nous. C’est lui qui nous conduit dans nos bungalows respectifs. Je vois tout de suite qu’il plaît à Fanny, qui n’arrête pas de sourire et de se trémousser à côté de lui. Et le jeune Thomas, n’est, bien sûr, pas du tout indifférent, au grand dam de Steven qui a essayé pendant tout le trajet en bateau de la draguer sans succès.
Ça me fait bien rire.
« - Il est pas un peu jeune pour toi, le Thomas ? »
« - Hey, ma fille ! C’est les vacances ! Et puis, ce qui se passe à Sainte-Lucie, reste à
Sainte-Lucie ! »
Et elle rajoute qu’elle lui a demandé s’il voulait bien nous accompagner ce soir à la Friday Night. Elle perd pas de temps, elle ! Invitation qu’il s’est évidemment empressé d’accepter. D’ailleurs, il a l’habitude d’y aller et il nous servira donc de chauffeur. Elle court prévenir Caro et les autres pour l’organisation de ce soir.
« - Steven avait l’air dégoûté quand j’ai dit que Thomas venait avec nous ce soir et qu’il nous servirait de chauffeur ! » me dit-elle à son retour.
« - Le pauvre, il a cru qu’il avait ses chances avec toi. En plus, il est dans le même bungalow que les amoureux là, ça va être dur pour lui ! »
« - C’est ballot ! »
Et on éclate de rire.
Après s’être bien reposés, il est l’heure d’aller manger, le service du soir va commencer. C’est Steven qui vient nous prévenir. Et il en profite pour placer encore deux, trois belles paroles à Fanny.
Arrivés dans le restaurant, on s’installe tous les cinq à une table. Le dîner est sous forme de buffet. Et, franchement, tout est délicieux. On a bien besoin de reprendre des forces en plus.
Et puis un peu avant la fin du repas, le show commence : cracheur de feu et danseurs de limbo. Spectacle vraiment super sympa. En plus, ils font participer le public pendant le show, et ça va, je me suis pas trop mal débrouillée.
Thomas vient nous donner l’heure de rendez-vous pour le départ de l’hôtel. En partant, il fait un clin d’œil à Fanny, ce qui agace Steven. Un vrai sketch. Je fais un rapide débrief à Caro et Fredo, qui n’ont rien suivi de l’histoire, au moment de retourner dans les bungalows. Ils font la grimace en rigolant.
On se prépare. On est toutes excitées à l’idée de vivre enfin notre première Friday Night à Sainte Lucie. Fanny a opté pour une robe courte style sportswear maillot de basket, qui met bien ses forme en valeur, et des baskets. Tandis que moi je porte un legging, un crop top noirs et des baskets compensées colorées. Simple mais efficace !
C’est l’heure, tout le monde est prêt et on se dirige vers la sortie où nous attend déjà Thomas dans le mini van. Mais, il n’est pas tout seul. A côté de lui, il y a un autre jeune homme. Il nous présente son meilleur pote, Alvin, Sainte-Lucien pure souche. Quand mon regard croise le sien, mon cœur rate un battement.
Waouww ! Des yeux en amande, un sourire à tomber, une peau ébène magnifique, et rien qu’à son bras qui passait par la vitre de la portière, on devine un physique d’athlète. Il devait avoir le même âge que Thomas, donc presque 5 ans de moins que moi. Il ne parle pas français, mais l’anglais, bien sûr, et le patois, assez proche de notre créole donc compréhensible. Dieu merci, je me débrouille bien en anglais, contrairement à Fanny ou Frédéric qui essayent tant bien que mal de suivre les conversations.
Direction Gros-îlet, encore plus au Nord. D’après Caroline, Thomas et Alvin, c’est là que se déroulent les meilleures Fridays. Au fur et à mesure qu’on approche, on peut entendre la musique. Vu que les rues deviennent piétonnes à ce moment là, on est obligés de se garer assez loin et de faire le reste du chemin à pied. Mais aucune importance, on est trop contents d’être là.
On découvre une ambiance de dingue !
En plus de la musique et des gens qui dansent dans la rue, il y a des stands de bouffe un peu partout : barbecue de poulet ou poisson et à boire pour tout le monde. Même si, on venait de manger, les odeurs nous donnaient envie de goûter à tout.
Alvin qui a compris que c’était la première fois que je venais, s’approche de moi, me prend à part pour me demander si ça me plaît. Avec la foule et le bruit, il est obligé de se rapprocher de moi pour me parler sinon je n’entends rien. Ce simple contact me déstabilise un peu, à en perdre mon anglais. Il est très tactile, en plus.
Je suis d’un naturel timide, et encore plus avec les hommes qui me plaisent, mais j’essaye de ne pas le montrer. Fanny, qui me connait par cœur, et qui a suivi les petits échanges entre Alvin et moi, vient me souffler de me lâcher un peu et d’oser ce que je n’oserais pas en temps normal. Mouais, facile à dire pour elle, même si au fond, je sais qu’elle n’a pas tort.
Elle et moi, c’est le jour et la nuit. D’ailleurs, certains se demandent comment on a pu devenir aussi proches. En fait, je crois qu’on se complète tout simplement, et je dois avouer que ma vie serait bien ennuyeuse sans elle. C’est vrai, elle a raison, ça ne pourra pas me faire de mal de me décoincer un peu. Heureusement, l’ambiance est tellement festive et les gens tellement chaleureux que je n'aurai pas trop de mal à me lâcher.
Quelques minutes après, Alvin revient vers moi avec 2 bières à la main, dont une pour moi. Des Pitons, bière officielle de l’île apparemment. Et il me dit à l’oreille :
« - Taste it, I’m sure you gon’ like it ! » ( “vas-y goûte, je suis sûr que tu vas aimer” ) avec un grand sourire.
Comment refuser ? Puis, sans prévenir, il m’attrape par la main et m’emmène en faisant signe aux autres de le suivre. On se retrouve alors sous une sorte de grande tente avec de la musique à fond, des gens qui dansent autour de nous, et on peut entendre le DJ hurler dans son micro. J’ai l’impression d’être dans une autre dimension. Pour moi qui ne sors pas beaucoup, c’est vraiment la folie !
Je me laisse rapidement envahir par toutes ces bonnes ondes et commence aussi à danser. Des fois, j’oublie à quel point j’aime ça, mais quand j’en ai l’occasion, il est difficile de m’arrêter. Je sens tout d’un coup une présence derrière moi, et une main se poser sur mon ventre. Je m’apprête à repousser gentiment la personne quand je reconnais la voix.
« - I love the way you move ! » ( “j’aime ta façon de bouger” )
Alvin ?... Oh my God ! Il se colle à moi et on commence à danser tous les deux. Je me laisse tellement aller que je ferme les yeux. Je peux sentir sa respiration dans mon cou. Ses mouvements de reins synchronisés sur les miens m’excitent. Il bouge vraiment bien. Il me serre de plus en plus fort dans ses bras, comme s’il avait peur que je m’évapore d’un coup.
Quand je rouvre les yeux, je vois Fanny me faire des signes, son pouce en l’air. Elle-même est aussi en de bonnes mains. Celles de Thomas. Je ne vois pas les autres avec tout ce monde et la fumée, mais ils ne doivent pas être bien loin.
Je referme les yeux, penche la tête en arrière, tout en continuant à me frotter à Alvin.
« - Please, I want to spend the rest of the night with you, you ok with that ? “ (“je veux passer le reste de la nuit avec toi, s’il te plaît, t’es d’accord ?”)
Sur le coup, je n’ai pas su quoi répondre, je ne m’y attendais pas du tout. Il a senti mon hésitation et a rajouté
« - You think I’m too young for you, right ? ” ( “tu penses que je suis trop jeune pour toi, c’est ça ?” )
« - No, it’s ok ! » du tac-o-tac.
Je me suis rappelée en une fraction de seconde les mots de Fanny, quelques instants plus tôt, et puis ce qui se passe à Sainte-Lucie reste à Sainte-Lucie, non ?
Content de ma réponse, il me serre dans ses bras et m’embrasse dans le cou. Deux heures après, on décide de rentrer à l’hôtel. Mais pas de Steven. Thomas et Alvin sont partis à sa recherche et l’ont retrouvés un quart d’heure après dans les bras d’une nana qui l’avait alpagué pour son plus grand plaisir. Au moins, il aura passé une bonne soirée aussi.
De retour à l’hôtel, finalement bien content de sa soirée, Steven est parti se coucher tout de suite, tandis que les 3 « couples » sont encore d’humeur festive, ou plutôt coquine. On décide alors de faire un petit plongeon dans la piscine. Les hommes ne perdent pas de temps, se déshabillent au bord de l’eau et plonge en boxer, alors que nous, les filles, sommes quand même partis nous mettre en maillot. Bah oui, on n’a pas fait du shopping exprès, pour se baigner en sous-vêtements !
Une fois tout le monde dans l’eau, ça joue, ça rigole, jusqu’au moment où tout naturellement, chaque couple s’isole dans un coin de la piscine. Alvin me dit que je suis belle. Je crois que je n’ai jamais autant aimé la langue de Shakespeare, surtout avec cette touche exotique en plus. Et puis, il m’embrasse. Ses lèvres sont incroyablement douces et charnues. Il glisse sa langue chaude dans ma bouche que je mêle à la mienne. Nos baisers sont sensuels. Dans l’eau, il caresse mon dos, mes fesses. L’excitation monte d’un cran, quand je sens son début d’érection. Il me demande si je veux bien aller ailleurs, ce à quoi je réponds oui. D’ailleurs, entre temps, Fanny s’était déjà éclipsée dans notre bungalow avec Thomas.
On sort donc de la piscine à notre tour, laissant Caroline et Frédéric qui semblent de toute façon trop occupés pour s’en apercevoir. On se dirige alors vers le petit port derrière l’hôtel où se trouvent les carbets et les bateaux navettes. Heureusement j’ai pris ma serviette. Il choisit un carbet, et m’invite à m’asseoir sur la table en y posant d’abord la serviette. J’ai d’abord cru qu’il voulait qu’on s’allonge sur la table pour y faire l’amour, mais non. Il m’embrasse, puis descend le long de mon cou, le lèche. Hum, il fait ça bien. Continue la descente sur ma poitrine et défait le haut de mon maillot.
« - Beautiful ».
Il attrape un de mes seins dans sa bouche, ce qui me fait gémir, pendant qu’il caresse l’autre avec sa main. Il fait la même chose avec l’autre. Il passe sa langue autour du téton avant de le mordiller légèrement et de l’aspirer. Wouaw, j’adore. Je n’ai pas le souvenir qu’un homme m’ait donné autant de plaisir juste en s’occupant de mes seins. Je découvre que je suis pas mal sensible dans cette zone en fait. Mais ce n’était que le début niveau découverte.
Quand il relève la tête, il me dit qu’il n’a pas de préservatif mais qu’il veut quand même me donner du plaisir.
« - I want to please you » (“je veux te donner du plaisir”)
Mais pour moi, il est hors de question d’avoir des rapports avec lui sans protection. Ok, je veux bien me lâcher, mais pas faire n’importe quoi et prendre des risques inutiles non plus. Et puis, je vois qu’il s’assied sur le banc, face à moi, et tire sur les nœuds de mon maillot. Pendant qu’il le détache, il me regarde droit dans les yeux, ce qui me met dans tous mes états. Je soulève légèrement les fesses pour qu’il l’enlève complètement. Il m’écarte les jambes, et avec ses mains me poussent vers lui. Quoi ? Il va vraiment le faire ? Mon Dieu, je n’y crois pas.
En fait, malgré mon âge, je n’ai jamais goûté au plaisir oral. Le cunni, comme on dit. Mes anciens partenaires ne le faisaient pas et je ne réclamais pas non plus. Sauf, oui, une seule fois, car le mec en question, lui, était accro aux fellations. Bien que ça ne me gênait absolument pas de le faire, j’ai quand même voulu un peu de réciprocité. Résultat : les 10 secondes les plus inintéressantes de ma vie. Vous comprendrez que depuis, j’ai laissé tomber.
Mais, en regardant Alvin dans les yeux, je sens bien que là ça va être totalement différent. Il y a un vrai désir dans son regard. Quand il place sa tête entre mes cuisses et que du bout de la langue, je sens qu’il pénètre doucement mes grandes lèvres pour atteindre mon clitoris. J’ai un petit sursaut dû à un frisson incontrôlable qui parcourt mon corps tout entier. A ma réaction, il relève la tête vers moi et sourit.
« - I’m gon’ make you cum with my tongue » (« je vais te faire jouir avec ma langue »)
Sa langue replonge en moi. J’avance encore plus mon bassin vers lui. Il me goûte, me mange, me déguste comme un fruit juteux. Je n’en reviens toujours pas, est-ce que c’est bien réel ? Je ressens des choses que je n’avais jamais ressenties auparavant. Et quand il prend entre ses lèvres mon clitoris, et qu’il l’aspire, j’émet un grognement et balance mon corps en arrière. Je ne sais pas si je vais supporter encore longtemps toutes ces vagues de plaisir qui bousculent mon corps.
Je l’entends me dire entre 2 coups de langues.
« - Oh my God, you taste so good » ( « Mon Dieu, tu es délicieuse »)
Il relève ensuite une de mes jambes pour la mettre sur la table, et il enfonce sa langue en moi. Aaah ! Je crie maintenant. Je n’en peux plus. Je ne suis que liquide. Je ne sens plus mon corps. J’ai presque envie de le supplier d’arrêter, mais non, c’est trop bon, et puis, je suis incapable de prononcer le moindre mot. Il n’y a que des voyelles qui sortent de ma bouche, des « a », des « o », parfois des « grrrr ».
Quelques secondes, minutes après, je ne sais pas, j’explose toute entière dans sa bouche, mon corps est pris de spasmes, j’ai l’impression que cet orgasme ne finira jamais. Mais, il ne me laisse pas reprendre mon souffle. Il se relève et introduit 2 doigts dans ma piscine, ils les glissent en moi avec tellement de facilité, qu’il en met même un troisième. Là, je suis à sa merci, j’essaye de m’agripper au bord la table, je ne sais plus où je suis, ni même comment je m’appelle. Il active sa main et ses doigts en moi d’une telle façon, que je commence à croire en l’existence de ce fameux point G.
« - Come on, babe, come on ! Cum for me again “ (« allez, bébé, allez ! Jouis encore pour moi “)
Quelques va-et-vient et pressions au bon endroit, et je sens un orgasme d’une telle intensité arriver, que je retire sa main d’un geste brusque. Au même moment, je pousse un cri et un jet puissant sort de mon corps pour l’éclabousser.
Il crie
« - OOOOH MY FUCKIN’ GOD !! “ Et éclate de rire.
Moi. Je suis sous le choc de l’orgasme et de ce qui vient de se passer. C’est moi qui ai fait ça ? Ce n’est pas possible ! Embarrassée, je m’excuse auprès d’Alvin pour l’avoir aspergé sans trop savoir comment d’ailleurs.
« - Sorry for what ? For being a squirter ? …. Oh ! Is that your 1st time ?... » (“désolé pour quoi, parce que tu es une femme fontaine ? … Oh ! C’est la 1ère fois ? »)
À ma tête, il comprend qu’il a vu juste. Il vient s’asseoir à côté de moi et me prends dans ses bras, ce que je trouve très gentil de sa part. Il me dit que c’est normal et qu’il est fier que ça soit avec lui que cela me soit arrivé pour la première fois. Tu m’étonnes !
Surtout qu’à la base, je le trouvais trop jeune pour moi, et finalement, c’est lui qui me donne mon premier orgasme grâce à un cunnilingus, (mais, cela, il n’a pas besoin de le savoir), et ÇA !
Ça fait beaucoup en une seule nuit quand même, si on m’avait dit …
Quand je vais raconter ça à Fanny !!! Elle ne va pas me croire !
En attendant, je savoure le moment avec Alvin. On profite d’être au bord de l’eau pour prendre un bain de mer et se « nettoyer ».
Pendant qu’on se câline dans l’eau, on entend Thomas, il le cherche apparemment.
C’est vrai, Alvin, ne réside pas à l’hôtel et Thomas doit le ramener chez lui.
De toute façon, ce n’est que le début du week-end, on a encore toute la journée et la nuit de demain. Il me dit qu’il s’arrangera pour venir nous rejoindre en fin de journée. On s’embrasse une dernière fois et je le laisse partir.
Eh bien, voilà, un weekend qui commence bien ! Je me dépêche de rentrer dans le bungalow rejoindre Fanny qui m’attend déjà avec le sourire aux lèvres.
TALEENAH
"Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée." Boris VIAN
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(1)deux pics montagneux au sud de Sainte Lucie faisant partie d’une chaîne volcanique. Emblème de l’île
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